Grand ou petit, preuve de compassion ou de générosité, illusion totale...
Pas d'affolement, il est tout à fait possible, tout simplement, que vôtre esprit erre dans vos rotules. Il vous suggère de vous traîner à genoux pour demander pardon. N’y croyez pas ! ! ! ! Il s’agit juste d'une subtile invitation à vous masser les rotules autour, soigneusement, pour dégager toute l’énergie qui y stagne. Il est donc parfaitement inutile, le lendemain, de vous trainer aux genoux de qui que ce soit.
Si c’est vous qui pardonnez, c’est dans votre corps subtil et énergétique que vient de sauter votre inconscient. Il s’ennuyait dans votre corps charnel et il explore avec ardeur votre auréole énergétique, celle qui fait une jolie couronne en haut de votre crâne, vous vous prenez donc pour un saint (e) et vous pardonnez à tour de bras. (Voir âme).
Si le pardon vous est accordé et que vous n’ayez pas fréquenté l’isoloir catholique pour y voter quelques dérogations possibles à la dure loi, et ce, depuis moins de six mois, votre esprit de rêve vous somme d’aller déblayer votre case confession. Ce qui peut se faire chez un prêtre, un médecin ou un psychanalyste selon la faute commise....
Si le pardon est accordé à un voleur, vous lisez la Bible en dormant, c'est bien. Ce n'est pas une raison, le lendemain, de vous glisser dans cette facette de vous-même qui voudrait bien piquer quelque chose à quelqu'un. Le pardon ne se fait jamais avant la faute. (Voir voleur)
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