ONCLE: Pire que père.
Tonton, paternel ou maternel qui a bon dos.
Car, si ce n'est lui, c'est donc son frère (ou sa s½ur), à moins qu'il ne s'avance masqué lui aussi, sous les dehors d'un de ses amis. (Détour encore plus retord s'il en est). Aucune solution n'apparaît à l'horizon. Vous ne pourrez rien résoudre en ayant recours aux habituels mythes Grecs. Il ne les a pas lus. Avec le bol que vous avez, il aura lu la bible et pour le coup des frères Cain, ce n'est pas bon du tout. Pour peu qu'il vous confonde avec l'objet de son ire et vous seriez très mal. Fuyez….
S’il vous apporte des fleurs, un grand sourire aux lèvres, faisant deux fois le tour de son visage, il y a sûrement du poil à gratter dedans, une boule puante, ou un putois. Et si tel n’est pas le cas, cherchez bien, il y a sûrement quelques épines ou quelques lys qui vous entêteront durant des heures. Sinon, la réconciliation est proche, le pardon rôde, la béatitude vous guette.
Et si ton ton n'est pas le bon, il serait de bon ton, que ton tonton change de ton.
Mais il y a de bon tontons tout de même. Tontaine et tonton en sont un bon exemple. Et, parfois, l'oncle semble plus idéal que le père, support d'identifications et de désirs moins dangereux que dans la sphère parentale....encore Oedipe me direz-vous. Oui, vous répondrais-je inlassablement. En cas d'absence du père, le tonton fait bonne figure masculine, l'indulgence sera alors de mise. Y'a bon tonton....
|
|